Photo et Vidéo viol des hommes Tunisie sécurité des agents dans les jardins de Carthage, des images et des détails de l'affaire de viol Tunisie hommes Security 2012

Photo et Vidéo viol des hommes Tunisie sécurité des agents dans les jardins de Carthage, des images et des détails de l'affaire de viol Tunisie hommes Security 2012
Fille violée confirmée par Awni de sécurité dans une interview avec le journal Lever et il se tenait sur le juge d'instruction du tribunal de Tunis a كمتهمة primaire et non pas comme une victime violé l'honneur de la Awni par la sécurité et chantages troisième de son petit ami.


Et la jeune fille a parlé des détails de l'avoir violée quand elle était assise avec son petit ami dans sa voiture Athadthan patrouille Zbha Ttfajye dans lequel trois agents de sécurité lui a demandé de monter dans leur voiture et a quitté la troisième place avec son petit ami, puis a commencé le processus de viol.


Et la jeune fille dit que l'on lui a demandé ce qui s'était «Ashe vous bash me donner», répondit elle possède 40 dinars, mais lui a dit que la nationalité de leurs biens et n'est pas financière et a expliqué qu'il avait été violé dans deux fois plus violé sa première manière brutale, puis de les échanger Alonan deux fois.


Et jeune fille violée a nié que l'histoire et la présence de son petit ami dans une situation immorale mal où ils ont trouvé porte ses vêtements après avoir été dans les moments intimes avec son petit ami.


Et d'ajouter que le troisième de sécurité Aoun faisait chanter son petit ami lui a demandé de dinars 300 $, mais son petit ami n'a pas eu la quantité et alla porter le montant du distributeur d'automatisation, mais la carte n'a pas lui Vavck l'aider ses papiers et lui a demandé d'apporter l'argent le lendemain


En parlant des menaces qui pèsent sur la mise en place de la sécurité pour pousser à une renonciation de la jeune fille a confirmé cette question a reçu Thidat mais ne reculera pas sur la question de l'honneur, notant que les témoignages contradictoires de l'accusé et de servir ses intérêts comme le rapport médico-légal d'éliminer tous.


La Cour juge d'instruction de première instance de Tunis interrogé mercredi Septembre 26, la jeune fille et les trois agents et retenue contre eux et qu'un groupe d'associations et d'organisations des droits humains ont publié une déclaration Mercredi Septembre 26, elle a estimé que l'interrogatoire de la jeune fille et le contrôle de fait de la victime accusé afin de les tenir responsables de ce crime qui était sa victime et de terroriser notre et le forcer à renoncer au droit d'ester en justice.
Développé incident de réactions du viol d'une jeune fille, par trois agents de sécurité d'émettre «une opinion publique» en Tunisie, après avoir dirigé la charge fille professer, dans la morale contravention, ce qui en fait en vertu du chapitre 226 du magazine Affaires criminelles, et donc menacé six mois de prison et d'une amende de mille JD, comme l'a confirmé l'avocat et Sam Saidi a déclaré au "net arabe.».

Phases de retour et de l'affaire à une plainte déposée par la jeune fille, où le viol signalés par certains membres de la patrouille de sécurité, a été arrêté sur les agents et traduits en justice, mais les autorités et envoyé à la fille en même temps la charge de "violation de l'éthique et de la manifester." Qui a attiré une vague de rejet et de contestation par plusieurs organisations des droits de l'homme, en particulier des femmes, qui a jugé que «la victime fille, et ne devrait pas se révéler délinquants ou accusé."

La jeune fille a reçu un soutien dans les pages des militants sur le site Facebook, sous les rubriques «violée puis Hakmoha ... Quelle honte», et «il m'a violée et a pleuré et se sont plaints devant moi" .. Également appelé fil de vigiles pour dénoncer les "filles se réfèrent à la magistrature», et «l'égalité entre l'agresseur et la victime."

Les militants d'avis que ce qui est arrivé à la jeune fille est une indication de «l'intention du gouvernement islamique de limiter les libertés, notamment la liberté de circulation des femmes et des vêtements."
Une invitation au viol

Militant critiqué et universitaire Raja front de la sécurité de Ben sur Facebook a écrit blogueurs islamistes incident, l'appelant «une invitation au viol», en disant: «rien de nouveau Eptdah population avocats Facebook pour les islamistes:. Appel au viol Saw l'appel à assassiner, nous sommes habitués à des menaces de mort, nous avons vu la politique deux Balmkialin, pour protéger à la fois fous et des fanatiques, et les déviants au nom de la religion. "

Elle a ajouté, «a défendu la pauvre fille se tourna capacité usurpé incapable d'hommes accusés du viol d'une sécurité chasteté, si les frères en général défenseurs de la morale et de l'Islam prétendent me violer."

Et a dénoncé plusieurs partis et associations, y compris appelle une «question du détournement» à «transférer la victime aux délinquants», et a mis en garde "un préjudice grave à la femme tunisienne et les droits fondamentaux et la dignité et la sainteté physique", comme indiqué dans la déclaration du Parti "Tunis appel" expositions.
Lutte juridique
Photo et Vidéo incident de viol tunisien fille


Les épaules d'un parti. Et rappelez-vous que toute cette question est l'un des yeux de la magistrature, qui respecte l'indépendance et les espoirs de chacun de ne pas être confondu dans cette affaire et d'éviter tout emploi politique ou médiatique. "

Comme je l'ai mentionné qu'il a publié le 8 Septembre 2012 Communiqué informé de l'état d'avancement d'une jeune entreprise de son copain le 04 Septembre sur le territoire de la presse nationale de sécurité Carthage sur sa fin de nuit 3 Septembre et quand elle était sur le bord de la voiture à un rapport de force, soumis son petit ami pour faire du chantage, à partir de par des agents de sécurité appartenant à la zone de jardins sécurité nationale Carthage.

Le ministère a indiqué dans sa communication "avait été immédiatement arrêté trois agents suspects et consulter le ministère public et la rétention. Le service de police a repris la recherche judiciaire Balqrjani dans les circonstances de l'espèce, et après avoir terminé la recherche a renvoyé les trois suspects à la justice pour des relations sexuelles avec une femme sans son consentement promulgué plus de vingt et extorsion.

Le ministère de l'Intérieur pour «c'était pendant la phase de recherche primaire pour faire face à la jeune victime et en tenant compte de l'état psychologique et commandé filiale de gestion responsable pour éviter sociale à écouter leurs paroles."
Le journal "Sabah" la Tunisie d'aujourd'hui (jeudi) que, hier, a comparu devant le bureau magistrat 13 Cour de première instance de Tunis agents de sécurité trois, ont également participé au tour fille devant le juge d'instruction, et a mené la lutte juridique entre eux et les trois accusés.

Le juge d'instruction Bastntagaha كمتهمة Baltjahr en violation de la pudeur, a nié l'accusation qui représente le 2 Octobre / Octobre prochain à nouveau en face de l'enquête.

Parallèlement à cela, réunissant un grand nombre de composants de la cour hall d'entrée de la société civile, en plus de la présence de membres de l'Association démocratique des femmes et un représentant de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l'homme et ont exprimé leur soutien à la jeune fille concernée.

La jeune fille a été faite au cours du mois d'Août / Août dernier grief au centre de national de Carthage jardins de sécurité et a déclaré avoir été violée par 3 agents de sécurité, notant qu'ils أوقفوها ce qui était avec son petit ami à bord de sa voiture et l'ont ensuite emmenée à la voiture de police, et deux voies de fait elle, tandis escorté aider le tiers de ses installations à un endroit loin de la scène de l'incident et délibérément chantage.
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